Chapitre 17. Options du fichier de configuration principal

Table des matières

Gardez à l'esprit ce qui suit quand vous créez/éditez des fichiers de configuration :

  • Les lignes qui commencent par le caractère '#' sont des commentaires et ne sont pas traitées

  • Les noms des variables doivent commencer au début de la ligne - ne mettez pas d'espace avant le nom

  • Les noms des variables respectent la casse (majuscule/minuscule)

Configuration d'exemple

Un fichier de configuration d'exemple (/usr/local/nagios/etc/nagios.cfg) est installé pour vous quand suivez le Guides d'installation rapide

Emplacement du fichier de configuration

Le fichier de configuration principal est habituellement nommé nagios.cfg et situé dans le répertoire /usr/local/nagios/etc/.

Variables du fichier de configuration

Vous allez trouver ci-dessous la description de chacune des options du fichier principal de configuration de Nagios…

Fichier journal

Format

log_file=<nom_de_fichier>

Exemple

log_file=/usr/local/nagios/var/nagios.log

Cette variable détermine le chemin d'accès au fichier journal principal de Nagios. Elle doit être la première variable définie dans le fichier de configuration, car Nagios essaiera d'enregistrer à cet endroit les erreurs découvertes dans le reste du fichier. Si vous avez activé la rotation des journaux ,ce fichier sera automatiquement archivé et remplacé chaque heure, jour, semaine et mois.

Fichier de configuration des objets

Format

cfg_file=<nom_de_fichier>

Exemple

cfg_file=/usr/local/nagios/etc/hosts.cfg

Cette variable détermine les fichiers de configuration des objets que Nagios doit utiliser pour la supervision. Ces fichiers contiennent les définitions pour les hôtes, groupes d'hôtes, contacts, groupes de contacts, services, commandes etc… Vous pouvez éclater votre fichier de configuration des objets en plusieurs fichiers que vous inclurez, pour leur traitement, en ajoutant un paramètre cfg_file= pour chacun d'eux.

Répertoire des fichiers de configuration des objets

Format

cfg_dir=<nom_de_répertoire>

Exemple

cfg_dir=/usr/local/nagios/etc/commands

Cette directive est utilisée pour spécifier un répertoire qui contient les fichiers de configuration d'objet que Nagios doit utiliser pour la supervision. Tous les fichiers contenus dans le répertoire avec une extension cfg sont traitées comme objet config. En outre, Nagios procède de manière récursive tous les fichiers de config dans les sous-répertoires du répertoire que vous spécifiez ici. Vous pouvez éclater votre fichier de configuration des objets dans plusieurs répertoires que vous inclurez, pour leur traitement, en ajoutant une directive cfg_dir= pour chacun d'eux.

Fichier de cache des objets

Format

object_cache_file=<nom_de_fichier>

Exemple

object_cache_file=/usr/local/nagios/var/objects.cache

Cette variable est utilisée pour indiquer l'emplacement d'un fichier qui contiendra une copie en cache des définitions des objets .Ce fichier cache est (re)créé à chaque (re)démarrage de Nagios et est utilisé par les CGIs. Il permet d'accélérer le cache des fichiers de configuration pour les CGIs, et vous permet de modifier les fichiers de configuration des objets, pendant que Nagios tourne, sans que l'affichage des CGIs soit modifié.

Fichier de pré-cache des objets

Format

precached_object_file=<nom_du_fichier>

Exemple

precached_object_file=/usr/local/nagios/var/objects.precache

Cette variable est utilisée pour indiquer l'emplacement d'un fichier qui va contenir une copie pré-traitée, pré-cachée du fichier de configuration des objets .Ce fichier peut améliorer de façon drastique les temps de démarrage de Nagios dans des installations complexes ou de grande dimension. Lisez plus d'informations sur la façon d'améliorer les temps de démarrage ici.

Fichier de ressources

Format

resource_file=<file_name>

Exemple

resource_file=/usr/local/nagios/etc/resource.cfg

Le fichier de ressources optionnel qui contient des définitions de macros du type $USERn$. Les macros $USERn$ permettent de stocker des noms d'utilisateurs, des mots de passe, et les éléments couramment utilisés dans les commandes (comme les chemins d'accès). Les CGIs ne lisent pas les fichiers de ressources, si bien que vous pouvez y mettre des droits d'accès restrictifs (600 ou 660) pour protéger les données sensibles. Vous pouvez inclure de nombreux fichiers de ressources en ajoutant des paramètres resource_file au fichier de configuration principal - Nagios les traitera tous. Référez-vous au fichier resource.cfg d'exemple situé à la racine de la distribution de Nagios, pour voir comment utiliser les macros $USERn$.

Fichier temporaire

Format

temp_file=<file_name>

Exemple

temp_file=/usr/local/nagios/var/nagios.tmp

C'est un fichier que Nagios crée périodiquement durant la mise à jour des commentaires de données, des données d'état etc… Il est supprimé quand il n'est plus nécessaire.

Répertoire temporaire

Format

temp_path=<dir_name>

Exemple

temp_path=/tmp

C'est un répertoire que Nagios peut utiliser comme espace scratch pour créer des fichiers temporaires utilisés durant le processus de supervision. Vous pouvez exécuter tmpwatch, ou un outil similaire sur ce réperoire pour effacer les fichiers plus vieux de 24 heures.

Fichier d'états (journal des états)

Format

status_file=<file_name>

Exemple

status_file=/usr/local/nagios/var/status.dat

C'est le fichier utilisé par Nagios, pour stocker l'état courant de tous les services supervisés. L'état de tous les hôtes et leurs services associés, est également enregistré dans ce fichier. Ce fichier est utilisé par le CGI d'état pour afficher l'état courant de la supervision dans l'interface web. Les CGIs doivent avoir le droit d'accéder en lecture à ce fichier, pour fonctionner correctement. Ce fichier est supprimé à l'arrêt de Nagios, et recréé au démarrage.

Intervalle de mise à jour des états agrégés

Format

status_update_interval=<seconds>

Exemple

status_update_interval=15

Cette variable, détermine la fréquence (en secondes), à laquelle Nagios mettra à jour les données d'état dans le la section intitulée «  status_file  » .L'intervalle minimal est de une seconde.

L'utilisateur de Nagios

Format

nagios_user=<username/UID>

Exemple

nagios_user=nagios

Ceci détermine quel utilisateur doit être le propriétaire du processus de Nagios. Après le démarrage du programme, et avant toute supervision, Nagios abandonnera ses privilèges effectifs, et se lancera sous cet utilisateur. Vous pouvez donner un nom d'utilisateur ou un UID.

Groupe de Nagios

Format

nagios_group=<groupname/GID>

Exemple

nagios_group=nagios

Ceci détermine quel groupe doit être propriétaire du processus de Nagios. Après le démarrage du programme, et avant toute supervision, Nagios abandonnera ses privilèges effectifs et se lancera sous ce groupe. Vous pouvez donner un nom de groupe ou un GID.

Option des notifications

Format

enable_notifications=<0/1>

Exemple

enable_notifications=1

Cette option détermine si Nagios envoie ou non une notification quand il (re)démarre. Si cette option est désactivée, Nagios n'enverra aucune notification, quel que soit l'hôte ou le service.

Note : si vous avez activé la la section intitulée «  retain_state_information  »,Nagios ignorera ce paramètre au (re)démarrage, et utilisera sa dernière valeur connue (telle qu'elle est stockée dans le la section intitulée «  state_retention_file  » ), à moins que vous ne désactiviez l'option la section intitulée «  use_retained_program_state  » .Si vous voulez changer cette variable alors que la mémorisation d'état est activée, (ainsi que l'option la section intitulée «  use_retained_program_state  » ), vous devrez passer par la commande externe appropriée, ou la changer à travers l'interface web. Les valeurs possibles de cette variable sont :

  • 0 = Notifications désactivées

  • 1 = Notifications activées (défaut)

Option d'exécution des contrôles de service

Format

execute_service_checks=<0/1>

Exemple

execute_service_checks=1

Cette option détermine, si Nagios effectuera les contrôles des services lorsqu'il (re)démarrera. Si cette option est désactivée, Nagios n'effectuera aucun contrôle de service, et restera dans un mode de sommeil (il peut quand même recevoir les contrôles passifs à moins qu'ils ne soient désactivés). Cette option est surtout utile pour définir des serveurs de supervision de secours, comme l'explique la documentation sur la redondance, ou pour mettre en place un environnement de supervision répartie. Note : si vous avez activé la mémorisation d'état, Nagios ignorera ce paramètre au (re)démarrage, et utilisera sa dernière valeur connue (telle qu'elle est stockée dans le fichier de mémorisation d'état), à moins que vous ne désactiviez l'option use_retained_program_state. Si vous voulez changer cette variable, alors que la mémorisation d'état est activée (ainsi que l'option use_retained_program_state), vous devrez passer par la commande externe appropriée, ou la changer à travers l'interface web. Les valeurs possibles de cette variable sont :

Note : si vous avez activé la la section intitulée «  retain_state_information  »,Nagios ignorera ce paramètre au (re)démarrage, et utilisera sa dernière valeur connue (telle qu'elle est stockée dans le la section intitulée «  state_retention_file  » ), à moins que vous ne désactiviez l'option la section intitulée «  use_retained_program_state  » .Si vous voulez changer cette variable alors que la mémorisation d'état est activée, (ainsi que l'option la section intitulée «  use_retained_program_state  » ), vous devrez passer par la commande externe appropriée, ou la changer à travers l'interface web. Les valeurs possibles de cette variable sont :

  • 0 = Ne pas exécuter les contrôles de services

  • 1 = Exécuter les contrôles de services (défaut)

Option d'acceptation des contrôles passifs de service

Format

accept_passive_service_checks=<0/1>

Exemple

accept_passive_service_checks=1

Cette option détermine si Nagios accepte les contrôles passifs de service quand il (re)démarrera. Si cette option est désactivée, Nagios n'acceptera aucun contrôle passif de service. Note : si vous avez activé la mémorisation d'état, Nagios ignorera ce paramètre au (re)démarrage et utilisera sa dernière valeur connue (telle qu'elle est stockée dans le fichier de mémorisation d'état), à moins que vous ne désactiviez l'option use_retained_program_state. Si vous voulez changer cette variable alors que la mémorisation d'état est activée (ainsi que l'option use_retained_program_state), vous devrez passer par la commande externe appropriée ou la changer à travers l'interface web. Les valeurs possibles de cette variable sont :

Note : si vous avez activé la la section intitulée «  retain_state_information  »,Nagios ignorera ce paramètre au (re)démarrage, et utilisera sa dernière valeur connue (telle qu'elle est stockée dans le la section intitulée «  state_retention_file  » ), à moins que vous ne désactiviez l'option la section intitulée «  use_retained_program_state  » .Si vous voulez changer cette variable alors que la mémorisation d'état est activée, (ainsi que l'option la section intitulée «  use_retained_program_state  » ), vous devrez passer par la commande externe appropriée, ou la changer à travers l'interface web. Les valeurs possibles de cette variable sont :

  • 0 = Ne pas accepter les contrôles passifs de services

  • 1 = Accepter les contrôles passifs de services (défaut)

Option d'exécution des contrôles d'hôtes

Format

execute_host_checks=<0/1>

Exemple

execute_host_checks=1

Cette option détermine si Nagios effectuera les contrôles des hôtes - à la demande ou de manière régulière - lorsqu'il (re)démarrera. Si cette option est désactivée, Nagios n'effectuera aucun contrôle sur les hôtes et restera dans un mode de sommeil (il peut quand même recevoir les contrôles passifs d'hôtes à moins qu'ils ne soient désactivés). Cette option est surtout utile pour définir des serveurs de supervision de secours, comme l'explique la documentation sur la redondance, ou pour mettre en place un environnement de supervision répartie. Note : si vous avez activé la mémorisation d'état, Nagios ignorera ce paramètre au (re)démarrage, et utilisera sa dernière valeur connue (telle qu'elle est stockée dans le fichier de mémorisation d'état), à moins que vous ne désactiviez l'option use_retained_program_state. Si vous voulez changer cette variable alors que la mémorisation d'état est activée (ainsi que l'option use_retained_program_state), vous devrez passer par la commande externe appropriée, ou la changer à travers l'interface web. Les valeurs possibles de cette variable sont :

Note : si vous avez activé la la section intitulée «  retain_state_information  »,Nagios ignorera ce paramètre au (re)démarrage, et utilisera sa dernière valeur connue (telle qu'elle est stockée dans le la section intitulée «  state_retention_file  » ), à moins que vous ne désactiviez l'option la section intitulée «  use_retained_program_state  » .Si vous voulez changer cette variable alors que la mémorisation d'état est activée, (ainsi que l'option la section intitulée «  use_retained_program_state  » ), vous devrez passer par la commande externe appropriée, ou la changer à travers l'interface web. Les valeurs possibles de cette variable sont :

  • 0 = Ne pas exécuter les contrôles d'hôtes

  • 1 = Exécuter les contrôles d'hôtes (défaut)

Option d'acceptation des contrôles passifs d'hôte

Format

accept_passive_host_checks=<0/1>

Exemple

accept_passive_host_checks=1

Cette option détermine si Nagios accepte les contrôles passifs d'hôte quand il (re)démarrera. Si cette option est désactivée, Nagios n'acceptera aucun contrôle passif d'hôte. Note : si vous avez activé la mémorisation d'état, Nagios ignorera ce paramètre au (re)démarrage, et utilisera sa dernière valeur connue (telle qu'elle est stockée dans le fichier de mémorisation d'état), à moins que vous ne désactiviez l'option use_retained_program_state. Si vous voulez changer cette variable alors que la mémorisation d'état est activée (ainsi que l'option use_retained_program_state), vous devrez passer par la commande externe appropriée, ou la changer à travers l'interface web. Les valeurs possibles de cette variable sont :

Note : si vous avez activé la la section intitulée «  retain_state_information  »,Nagios ignorera ce paramètre au (re)démarrage, et utilisera sa dernière valeur connue (telle qu'elle est stockée dans le la section intitulée «  state_retention_file  » ), à moins que vous ne désactiviez l'option la section intitulée «  use_retained_program_state  » .Si vous voulez changer cette variable alors que la mémorisation d'état est activée, (ainsi que l'option la section intitulée «  use_retained_program_state  » ), vous devrez passer par la commande externe appropriée, ou la changer à travers l'interface web. Les valeurs possibles de cette variable sont :

  • 0 = Ne pas accepter les contrôles passifs d'hôtes

  • 1 = Accepter les contrôles passifs d'hôtes (défaut)

Option de gestion d'événement

Format

enable_event_handlers=<0/1>

Exemple

enable_event_handlers=1

Cette option détermine si Nagios activera les gestionnaires d'événement quand il (re)démarrera. Si cette option est désactivée, Nagios ne lancera aucun gestionnaire d'événement lié aux hôtes ou aux services. Note : si vous avez activé la mémorisation d'état, Nagios ignorera ce paramètre au (re)démarrage, et utilisera sa dernière valeur connue (telle qu'elle est stockée dans le fichier de mémorisation d'état), à moins que vous ne désactiviez l'option use_retained_program_state. Si vous voulez changer cette variable alors que la mémorisation d'état est activée (ainsi que l'option use_retained_program_state), vous devrez passer par la commande externe appropriée ou la changer à travers l'interface web. Les valeurs possibles de cette variable sont :

Note : si vous avez activé la la section intitulée «  retain_state_information  »,Nagios ignorera ce paramètre au (re)démarrage, et utilisera sa dernière valeur connue (telle qu'elle est stockée dans le la section intitulée «  state_retention_file  » ), à moins que vous ne désactiviez l'option la section intitulée «  use_retained_program_state  » .Si vous voulez changer cette variable alors que la mémorisation d'état est activée, (ainsi que l'option la section intitulée «  use_retained_program_state  » ), vous devrez passer par la commande externe appropriée, ou la changer à travers l'interface web. Les valeurs possibles de cette variable sont :

  • 0 = Gestionnaire d'événements désactivé

  • 1 = Gestionnaire d'événements activé (défaut)

Méthode de rotation du journal

Format

log_rotation_method=<n/h/d/w/m>

Exemple

log_rotation_method=d

C'est la méthode de rotation que vous voulez que Nagios utilise pour le fichier journal. Les valeurs possibles de cette variable sont :

  • n = Aucune [None] (ne pas effectuer de rotation sur le journal - par défaut)

  • h = Toutes les heures [Hourly] (effectuer une rotation du journal au début de chaque heure)

  • d = Tous les jours [Daily] (effectuer une rotation du journal à minuit chaque jour)

  • w = Toutes les semaines [Weekly] (effectuer une rotation du journal à minuit le samedi)

  • m = Tous les mois [Monthly] (effectuer une rotation du journal à minuit le dernier jour du mois)

Chemin d'accès aux archives du journal

Format

log_archive_path=<path>

Exemple

log_archive_path=/usr/local/nagios/var/archives/

C'est le répertoire où Nagios doit enregistrer les fichiers journaux ayant fait l'objet d'une rotation. Cette option est ignorée si vous n'avez pas activé la rotation du journal .

Option de contrôle des commandes externes

Format

check_external_commands=<0/1>

Exemple

check_external_commands=1

Cette option détermine si Nagios va vérifier le contenu du la section intitulée «  command_file  » à la recherche de commandes à exécuter. Cette option doit être activée si vous avez prévu d'utiliser le CGI de commande pour envoyer des commandes via l'interface web. Des programmes tiers peuvent également envoyer des commandes à Nagios en écrivant dans le fichier de commande, sous réserve que les droits nécessaires à l'accès au fichier aient été donnés, comme le souligne cette FAQ. Vous trouverez plus d'informations sur les commandes externes ici.

  • 0 = Ne pas vérifier les commandes externes

  • 1 = Vérifier les commandes externes (défaut)

Intervalle entre les contrôles des commandes externes

Format

command_check_interval=<xxx>[s]

Exemple

command_check_interval=1

Si vous spécifiez un nombre suivi d'un s (par exemple 30s), c'est le nombre de secondes qui séparera deux contrôles de commandes externes. Si vous ne mettez pas de s, c''est le nombre d'unités de temps à laisser entre deux contrôles de commandes externes. Si vous n'avez pas modifié la valeur de lala section intitulée «  interval_length  » qui est par défaut de 60, ce nombre représente des minutes.

Note : en mettant cette valeur à -1, Nagios contrôlera les commandes externes aussi souvent que possible. Chaque fois que Nagios contrôle les commandes externes, il lit et traite toutes les commandes présentes dans le la section intitulée «  command_file  » avant de passer à d'autres tâches. Vous trouverez plus d'informations sur les commandes externes ici.

Fichier de commandes externes

Format

command_file=<file_name>

Exemple

command_file=/usr/local/nagios/var/rw/nagios.cmd

C'est le fichier que Nagios lit à la recherche de commandes externes. Le CGI de commande écrit les commandes dans ce fichier. Des programmes tiers peuvent écrire dans ce fichier sous réserve qu'ils aient les droits d'accès comme il est décrit ici. Le fichier de commandes externes est implémenté sous forme d'un tube nommé [named pipe] (FIFO), qui est créé quand Nagios démarre et supprimé lorsqu'il s'arrête. Pour plus d'informations sur les commandes externes, lisez ceci.

Mémoire tampon des commandes externes

Format

external_command_buffer_slots=<#>

Exemple

external_command_buffer_slots=512

C'est une option avancée.

Cette option détermine le nombre de slots tampon que Nagios va réserver pour mettre en cache les commandes externes qui ont été lues depuis le fichier de commandes externes par un processus enfant (worker thread) mais qui n'ont pas encore été traité par le processus principal (main thread) du démon Nagios. Chaque slot peut gérer une commande externe, ce qui fait que cette option détermine le nombre de commandes externes qui peuvent être mis en tampon. Pour des installations où vous avez besoin de traiter un nombre important de contrôles passifs (comme dans les environnements distribués), vous aurez peut-être besoin d'augmenter ce nombre. Vous devriez considérer l'utilisation de MRTG pour grapher l'usage que fait Nagios des tampons de commande externe. Vous pouvez en apprendre davantage sur la façon de configurer les graphes ici.

Fichier verrou

Format

lock_file=<file_name>

Exemple

lock_file=/tmp/nagios.lock

C'est l'emplacement du fichier verrou qu'utilise Nagios quand il est lancé en tant que démon (i.e. démarré avec l'argument -d ). Ce fichier contient l'identifiant du processus (PID) de Nagios.

Option de mémorisation de l'état

Format

retain_state_information=<0/1>

Exemple

retain_state_information=1

Cette option détermine si Nagios doit mémoriser l'état des hôtes et des services entre deux démarrages. Si vous activez cette option, vous devez donnez une valeur à la variable la section intitulée «  state_retention_file  » .Une fois l'option activée, Nagios enregistrera toutes les informations concernant l'état des hôtes et des services avant de s'arrêter (ou de redémarrer) et il relira les informations d'état préalablement enregistrées quand il redémarrera.

  • 0 = Ne pas conserver les informations de statuts

  • 1 = Conserver les informations de statuts (défaut)

Fichier de mémorisation de l'état

Format

state_retention_file=<file_name>

Exemple

state_retention_file=/usr/local/nagios/var/retention.dat

C'est le fichier utilisé par Nagios pour mémoriser l'état des hôtes et des services entre les redémarrages. Au démarrage, Nagios positionnera l'état initial des services et des hôtes à partir des informations contenues dans ce fichier, puis commencera la supervision. Ce fichier est supprimé dès sa lecture effectuée. Pour que Nagios mémorise l'état des hôtes et des services, vous devez activer l'option de la section intitulée «  retain_state_information  » .

Intervalle de mise à jour des états mémorisés

Format

retention_update_interval=<minutes>

Exemple

retention_update_interval=60

Cette variable détermine la fréquence (en minutes) à laquelle Nagios va automatiquement sauvegarder les données de mémorisation en situation normale. Si vous donnez une valeur de 0, Nagios ne sauvegardera pas les données mémorisées à intervalles réguliers, mais avant de s'arrêter ou de redémarrer. Si vous avez désactivé la mémorisation des états (grâce à l'option la section intitulée «  retain_state_information  » ), cette variable est sans effet.

Option d'utilisation des états mémorisés du programme

Format

use_retained_program_state=<0/1>

Exemple

use_retained_program_state=1

Cette option détermine si Nagios positionnera diverses variables d'état du programme à partir des valeurs enregistrées dans le fichier de mémorisation. Parmi ces variables d'état du programme, normalement sauvegardées par delà les redémarrages du programme si la mémorisation d'état est activée, on trouve les la section intitulée «  enable_notifications  » , la la section intitulée «  enable_flap_detection  » ,la section intitulée «  enable_event_handlers  » ,la section intitulée «  execute_service_checks  » ,ou la section intitulée «  accept_passive_service_checks  » .Si vous n'avez pas activé la la section intitulée «  retain_state_information  » ,cette option est sans effet.

  • 0 = Ne pas conserver les informations de statuts de programme

  • 1 = Conserver les informations de statuts de programme (défaut)

Option d'utilisation des états mémorisés de l'ordonnanceur

Format

use_retained_scheduling_info=<0/1>

Exemple

use_retained_scheduling_info=1

Cette option détermine si Nagios va garder les informations d'ordonnancement (prochain lancement de vérification pour chaque service), lorsqu'il redémarre. Si vous ajoutez un grand nombre (ou pourcentage) de services ou d'hôtes, je vous recommande de désactiver cette option lorsque vous redémarrez Nagios, car ceci peut biaiser la répartition initiale des services. Dans le cas contraire, vous voudrez probablement laisser cette option active.

  • 0 = Ne pas conserver les informations d'ordonnancement

  • 1 = Conserver les informations d'ordonnancement (défaut)

Masques d'attribut conservé pour hôte et service

Format

retained_host_attribute_mask=<number>

Exemple

retained_host_attribute_mask=0

Format

retained_service_attribute_mask=<number>

Exemple

retained_service_attribute_mask=0

C'est une fonction avancée. Vous aurez besoin de lire le code source de Nagios pour utiliser cette option de façon efficace.

Ces options détermine quels sont les attributs d'hôtes et services qui ne seront PAS conservés entre les redémarrages du programme. Les valeurs pour ces options sont au niveau du bit (bitwise) ET les valeurs spécifiées par les définitions de MODATTR_ dans le fichier du code source include/common.h. Par défaut, tous les attributs d'hôtes et services sont conservés.

Masque d'attributs conservés du processus

Format

retained_process_host_attribute_mask=<number>

Exemple

retained_process_host_attribute_mask=0

Format

retained_process_service_attribute_mask=<number>

Exemple

retained_process_service_attribute_mask=0

C'est une fonction avancée. Vous aurez besoin de lire le code source de Nagios pour utiliser cette option de façon efficace.

Ces options déterminent quels sont les attributs de processus qui ne seront PAS conservés entre les redémarrages du programme. Il y a deux masques parce qu'il y a souvent des attributs séparés qui peuvent être changés pour les hôtes et services. Par exemple, les contrôles d'hôtes peuvent être désactivés au niveau du programme, alors que les services restent eux activés. Les valeurs pour ces options sont au niveau du bit (bitwise) ET les valeurs spécifiées par les définitions de MODATTR_ dans le fichier du code source include/common.h. Par défaut, tous les attributs de processus sont conservés.

Masques d'attribut conservé de contact

Format

retained_contact_host_attribute_mask=<number>

Exemple

retained_contact_host_attribute_mask=0

Format

retained_contact_service_attribute_mask=<number>

Exemple

retained_contact_service_attribute_mask=0

C'est une fonction avancée. Vous aurez besoin de lire le code source de Nagios pour utiliser cette option de façon efficace.

Ces options déterminent quels sont les attributs de contact qui ne seront PAS conservés entre les redémarrages du programme. Il y a deux masques parce qu'il y a souvent des attributs séparés qui peuvent être changés pour les contacts d'hôtes et de services. Les valeurs pour ces options sont au niveau du bit (bitwise) ET les valeurs spécifiées par les définitions de MODATTR_ dans le fichier du code source include/common.h. Par défaut, tous les attributs de contact sont conservés.

Option de journalisation dans Syslog

Format

use_syslog=<0/1>

Exemple

use_syslog=1

Cette option détermine si les messages doivent être journalisés via l'utilitaire système Syslog. Les valeurs possibles sont :

  • 0 = Don't use syslog facility

  • 1 = Use syslog facility

Option de journalisation des notifications

Format

log_notifications=<0/1>

Exemple

log_notifications=1

Cette variable détermine si les messages de notification sont journalisés ou non. Si vous avez de nombreux contacts ou des problèmes fréquents sur les services, le fichier journal va rapidement grossir. Utilisez cette option pour éviter de journaliser les notifications faites aux contacts.

  • 0 = Don't log notifications

  • 1 = Log notifications

Option de journalisation de tentatives de contrôle de service

Format

log_service_retries=<0/1>

Exemple

log_service_retries=1

Cette option détermine si les tentatives répétées de contrôle d'un service sont journalisées. Ces tentatives ont lieu lorsqu'un service retourne un état différent de OK, mais que vous avez configuré Nagios pour essayer plus d'une fois avant de considérer cela comme une erreur. Les services dans cette situation sont dits en état soft. La journalisation des tentatives de contrôle permet de déboguer Nagios ou de tester les gestionnaires d'événements.

  • 0 = Don't log service check retries

  • 1 = Log service check retries

Option de journalisation de tentatives de contrôle d'hôte

Format

log_host_retries=<0/1>

Exemple

log_host_retries=1

Cette option détermine si les tentatives répétées de contrôle d'un hôte sont journalisées. La journalisation des tentatives de contrôle permet de déboguer Nagios ou de tester les gestionnaires d'événements.

  • 0 = Don't log host check retries

  • 1 = Log host check retries

Option de journalisation des gestions d'événement

Format

log_event_handlers=<0/1>

Exemple

Cette option détermine si les gestions d'événements liés aux hôtes ou aux services sont journalisées. Les gestionnaires d'événements sont des commandes optionnelles qu'on peut lancer lors du changement d'état d'un hôte ou d'un service. La journalisation des gestions d'événements permet de déboguer Nagios ou de tester les scripts de gestion d'événements.

  • 0 = Don't log event handlers

  • 1 = Log event handlers

Option de journalisation des états initiaux

Format

log_initial_states=<0/1>

Exemple

log_initial_states=1

Cette variable détermine si Nagios forcera la journalisation de tous les états initiaux des hôtes et des services, même si leur état est OK. Les états initiaux ne sont normalement journalisés que s'il y a un problème lors du premier contrôle. Cette option peut se révéler utile si vous utilisez une application tierce qui lit le journal pour en tirer des statistiques à long terme pour les hôtes et services.

  • 0 = Ne pas journaliser les états initiaux (défaut)

  • 1 = Journaliser les états initiaux

Option de journalisation des commandes externes

Format

log_external_commands=<0/1>

Exemple

log_external_commands=1

Cette variable détermine si Nagios journalisera les commandes externes reçues via le fichier des commandes externes .

Note : cette option ne détermine pas si les contrôles passifs de service (qui sont une variante des commandes externes) sont journalisés. Pour définir la journalisation des contrôles passifs de service, utilisez l'option de journalisation des contrôles passifs de service.

  • 0 = Ne pas journaliser les commandes externes

  • 1 = Journaliser les commandes externes (défaut)

Option de journalisation des contrôles passifs

Format

log_passive_checks=<0/1>

Exemple

log_passive_checks=1

Cette variable détermine si Nagios journalisera les contrôles passifs d'hôte ou de service reçus via le fichier de commandes externes .Si vous mettez en place un environnement de supervision réparti ou si vous souhaitez utiliser fréquemment un grand nombre de contrôles passifs, vous pouvez désactiver cette option pour éviter au journal de trop grossir.

  • 0 = Ne pas journaliser les contrôles passifs

  • 1 = Journaliser les contrôles passifs (défaut)

Gestionnaire global des événements relatifs aux hôtes

Format

global_host_event_handler=<command>

Exemple

global_host_event_handler=log-host-event-to-db

Cette option détermine un gestionnaire d'événement appelé à chaque changement d'état d'un hôte. Il s'exécute juste avant le gestionnaire d'événement particulier à l'hôte que vous avez précisé de manière optionnelle dans la définition de l'hôte. L'argument commande est le nom court d'une définition de commande qui se trouve dans votre Object Configuration Overview. Le temps d'exécution maximal de cette commande est déterminé par la variable event_handler_timeout . Vous trouverez plus d'informations sur les gestionnaires d'événements ici

Gestionnaire global des événements relatifs aux services

Format

global_service_event_handler=<command>

Exemple

global_service_event_handler=log-service-event-to-db

Cette option détermine un gestionnaire d'événement appelé à chaque changement d'état d'un service. Il s'exécute juste avant le gestionnaire d'événement particulier à l'hôte que vous avez précisé de manière optionnelle dans la définition du service. L'argument commande est le nom court d'une définition de commande qui se trouve dans votre Object Configuration Overview. Le temps d'exécution maximal de cette commande est déterminé par la variable event_handler_timeout . Vous trouverez plus d'informations sur les gestionnaires d'événements ici.

Temps de sommeil entre les contrôles

Format

sleep_time=<seconds>

Exemple

sleep_time=1

C'est le nombre de secondes pendant lequel Nagios va sommeiller avant de vérifier si le prochain contrôle de service ou d'hôte en file d'attente doit être exécuté. Notez que Nagios ne s'endormira qu'après avoir liquidé les contrôles de services en retard dans la file.

Méthode de délai inter-contrôles de services

Format

service_inter_check_delay_method=<n/d/s/x.xx>

Exemple

service_inter_check_delay_method=s

Cette option détermine comment les contrôles de service sont initialement répartis dans la file d'attente. L'option de calcul débrouillard [smart] du délai (par défaut), demande à Nagios de calculer un intervalle moyen entre les contrôles, et d'ordonnancer les contrôles initiaux de tous les services à cet intervalle, ce qui permet d'éviter les pics d'utilisation du processeur. Il n'est pas recommandé d'utiliser la méthode sans délai [no delay] à moins que vous ne vouliez tester la parallélisation des contrôles de service. En effet, cette méthode ordonnance tous les contrôles en même temps. L'exécution de tous les contrôles en parallèle va provoquer d'importants pics d'utilisation du processeur. Vous obtiendrez plus d'informations sur la façon dont cette variable affecte l'ordonnancement des contrôles de service ici. Ses valeurs possibles sont :

  • n = Ne pas utiliser de délai [no delay] - ordonnancer le lancement de toutes les contrôles maintenant (i.e. en même temps !)

  • d = Utiliser un délai irréfléchi [dumb] d'1 seconde entre les contrôles de service

  • s = Utiliser un calcul de délai débrouillard [smart] pour répartir également les contrôles de service (par défaut)

  • x.xx = Utiliser le délai fourni de x.xx secondes

Délai maximum de répartition des contrôles initiaux de services

Format

max_service_check_spread=<minutes>

Exemple

max_service_check_spread=30

Cette option détermine le temps maximum (en minutes) entre le démarrage de Nagios et la vérification de tous les services qui sont ordonnancés régulièrement. Cette option va automatiquement ajuster le délai inter-contrôles de services (si nécessaire) pour s'assurer que les contrôles initiaux des services vont s'effectuer dans le temps imparti. En général, cette option n'a pas d'effet si l'option la section intitulée «  use_retained_scheduling_info  » est activée. La valeur par défaut est de 30 (minutes).

Délai maximum de répartition des contrôles initiaux de services

Format

service_interleave_factor=<s|x>

Exemple

service_interleave_factor=s

Cette variable détermine comment les contrôles de service sont entrelacés. L'entrelacement permet une distribution plus égale des contrôles de service, une charge réduite sur les hôtes distants, et une détection globalement plus rapide des problèmes liés aux hôtes. Avec l'introduction de la parallélisation des contrôles de service, les hôtes distants peuvent se retrouver bombardés de contrôles si l'entrelacement n'est pas activé. Ceci peut entrainer l'échec de contrôles ou des résultats incorrects si l'hôte distant est surchargé de requêtes. Mettre une valeur de 1 est équivalent à ne pas entrelacer les contrôles de service (c'est le mode de fonctionnement des versions de Nagios antérieures à la version 0.0.5). Mettez une valeur de s (débrouillard)[smart]) pour que le calcul du facteur d'entrelacement soit automatique, à moins que vous ayez une bonne raison de la changer. Le meilleur moyen de comprendre le fonctionnement du facteur d'entrelacement est d'observer le CGI d'état (vue détaillée) au moment où Nagios vient de démarrer. Vous verrez comment les contrôles sont faits au fur et à mesure que les résultats apparaissent. Vous trouverez plus d'informations sur l'entrelacement ici.

  • x = Un nombre supérieur ou égal à 1 détermine le facteur d'entrelacement à utiliser. Une valeur de 1 revient à ne pas entrelacer les contrôles de service.

  • s = Utiliser un calcul débrouillard du facteur d'entrelacement (par défaut)

Nombre maximal de contrôles de service simultanés

Format

max_concurrent_checks=<max_checks>

Exemple

max_concurrent_checks=20

Cette option détermine le nombre maximal de contrôles de service pouvant tourner en parallèle à un instant donné. Une valeur de 1 empêche la parallélisation. Une valeur de 0 (par défaut) n'impose aucune restriction sur le nombre de contrôles simultanés. Vous ajusterez cette valeur en fonction des capacités de la machine sur laquelle tourne Nagios, car elle impacte directement la charge du système (processeur, mémoire, etc.). Vous trouverez plus d'informations sur le nombre de contrôles de services que vous devriez autoriser ici.

Fréquence de consolidation des résultats de contrôle

Format

check_result_reaper_frequency=<fréquence_en_secondes>

Exemple

check_result_reaper_frequency=5

Cette option vous permet de contrôler la fréquence en secondes des événements de consolidation. Les événements de consolidation traitent les résultats des contrôles d'hôtes et de services dont l'exécution est terminée. Ces événements constituent le cœur de la logique de supervision de Nagios.

Temps maximum de consolidation des résultats de contrôle

Format

max_check_result_reaper_time=<secondes>

Exemple

max_check_result_reaper_time=30

Cette option vous permet de contrôler le temps maximum en secondes que doit prendre une consolidation des résultats de contrôles d'hôte et de service. Les événements de consolidation traitent les résultats de contrôle d'hôtes et de services qui sont terminés. Si il y a une grande quantité de résultats à traiter, les événements de collecte peuvent mettre beaucoup de temps à se terminer, ce qui décale d'autant l'exécution de nouveaux contrôles d'hôtes et de services. Cette variable vous permet de limiter le temps que prend un événement de consolidation avant de rendre la main à Nagios pour d'autres traitements de la logique de supervision.

Répertoire de stockage des résultats de contrôle

Format

check_result_path=<path>

Exemple

check_result_path=/var/spool/nagios/checkresults

Cette option détermine quel répertoire Nagios utilisera pour stocker temporairement les résultats de contrôle. Ce répertoire ne doit pas stocker d'autres fichiers, car Nagios efface le contenu de ce répertoire de manière récurrente (voir l'option la section intitulée «  max_check_result_file_age  » pour plus d'informations).

Assurez vous qu'une seule instance de Nagios n'est qu'accès à ce répertoire. Si plusieurs instances attaquent ce même répertoire, vous allez rencontrer des problèmes car il est possible que la mauvaise instance de Nagios prélève des résultats ne la concernant pas!

L'age maximum du fichier de résultat de contrôle

Format

max_check_result_file_age=<seconds>

Exemple

max_check_result_file_age=3600

Cette option détermine le temps maximum en seconde que Nagios peut considérer trouver des informations de résultats de contrôles dans le répertoire de stockages des résultats .Les résultats dépassant ce temps limite, ils seront effacés par Nagios et ne pourront plus être exploités. En utilisant la valeur zéro (0) pour cette option, Nagios exploitera chaque fichiers de contrôle.

Méthode de délai inter-contrôles d'hôtes

Format

host_inter_check_delay_method=<n/d/s/x.xx>

Exemple

host_inter_check_delay_method=s

Cette option détermine comment les contrôles d'hôtes (pour les hôtes qui sont régulièrement contrôlés) sont initialement répartis dans la file d'attente. L'option de calcul débrouillard [smart] du délai (par défaut) demande à Nagios de calculer un intervalle moyen entre les contrôles et d'ordonnancer les contrôles initiaux de tous les services à cet intervalle, ce qui permet d'éviter les pics d'utilisation du processeur. Il n'est pas recommandé d'utiliser la méthode sans délai [no delay]. En effet, cette méthode ordonnance tous les contrôles en même temps. Vous obtiendrez plus d'informations sur la façon dont cette variable affecte l'ordonnancement des contrôles d'hôte ici. Ses valeurs possibles sont :

  • n = Ne pas utiliser de délai [no delay] - ordonnancer le lancement de tous les contrôles maintenant (i.e. en même temps !)

  • d = Utiliser un délai irréfléchi [dumb] d'1 seconde entre les contrôles d'hôte

  • s = Utiliser un calcul de délai débrouillard [smart] pour répartir également les contrôles d'hôte (par défaut)

  • x.xx = Utiliser le délai fourni de x.xx secondes

Délai maximum de répartition des contrôles initiaux d'hôtes

Format

max_host_check_spread=<minutes>

Exemple

max_host_check_spread=30

Cette option détermine le temps maximum (en minutes) entre le démarrage de Nagios et la vérification de tous les hôtes qui sont contrôlés régulièrement. Cette option va automatiquement ajuster le délai inter-contrôles d'hôtes (si nécessaire) pour s'assurer que les contrôles initiaux des services vont s'effectuer dans le temps imparti. En général, cette option n'a pas d'effet si l'option d'utilisation des états mémorisés de l'ordonnanceur est activée. La valeur par défaut est de 30 (minutes).

Valeur de l'intervalle de temps

Format

interval_length=<seconds>

Exemple

interval_length=60

C'est le nombre de secondes que contient une unité de temps utilisée dans la file d'ordonnancement, les re-notifications, etc. Les unités de temps sont utilisées dans le fichier de configuration des objets pour déterminer la fréquence d'exécution des contrôles de service, la fréquence de re-notification d'un contact, etc.

La valeur par défaut de cette variable est 60, ce qui veut dire qu'une unité de temps de 1 dans le fichier de configuration des hôtes vaut 60 secondes (1 minute). Je n'ai pas vraiment testé d'autres valeurs pour cette variable, donc vous la modifierez à vos risques et périls !

Option de réordonnancement automatique

Format

auto_reschedule_checks=<0/1>

Exemple

auto_reschedule_checks=1

Cette option détermine si Nagios va essayer de ré-ordonnancer automatiquement les services de vérification actifs des hôtes et services pour les lisser dans le temps. Ceci peut aider à distribuer la charge sur le serveur de surveillance car il va essayer de conserver un delta de temps cohérent entre deux vérifications. La contrainte étant que l'ordonnancement sera plus strict.

ATTENTION : CETTE OPTION EST EXPERIMENTALE ET PEUT ETRE SUPPRIMEE DANS LES VERSIONS ULTERIEURES. ACTIVER CETTE OPTION PEUT DEGRADER LES PERFORMANCES AU LIEU DE LES AMELIORER, SI ELLE EST MAL UTILISEE.

Intervalle de réordonnancement automatique

Format

auto_rescheduling_interval=<seconds>

Exemple

auto_rescheduling_interval=30

Cette option détermine la fréquence (en secondes) de réordonnancement automatique. Cette option n'a d'effet que si l'option de réordonnancement automatique est active. La valeur par défaut est de 30 secondes.

ATTENTION : CETTE OPTION EST EXPERIMENTALE ET PEUT ETRE SUPPRIMEE DANS LES VERSIONS ULTERIEURES. ACTIVER CETTE OPTION PEUT DEGRADER LES PERFORMANCES AU LIEU DE LES AMELIORER, SI ELLE EST MAL UTILISEE.

Fenêtre de réordonnancement automatique

Format

auto_rescheduling_window=<seconds>

Exemple

auto_rescheduling_window=180

Cette option détermine la fenêtre de temps (en seconde) sur laquelle Nagios va porter le réordonnancement automatique. Seules les vérifications d'hôtes et de services qui doivent avoir lieu durant les prochaines N secondes seront affectées par le réordonnancement. Cette option n'a d'effet que si l'la section intitulée «  auto_reschedule_checks  » est active. La valeur par défaut est de 180 secondes (3 minutes).

ATTENTION : CETTE OPTION EST EXPERIMENTALE ET PEUT ETRE SUPPRIMEE DANS LES VERSIONS ULTERIEURES. ACTIVER CETTE OPTION PEUT DEGRADER LES PERFORMANCES AU LIEU DE LES AMELIORER, SI ELLE EST MAL UTILISEE.

Option de contrôle agressif des hôtes

Format

use_aggressive_host_checking=<0/1>

Exemple

use_aggressive_host_checking=0

[NdT] : cette option comporte deux g à aggressive depuis la version 2. Elle n'en comprenait qu'un auparavant.Nagios essaye d'être plus malin dans la façon et le moment de contrôler l'état des hôtes. En général, désactiver cette option permet à Nagios d'être un peu plus malin et de faire les contrôles plus vite. Activer cette option revient à ralentir le contrôle des hôtes, mais peut améliorer la sûreté de fonctionnement. A moins que Nagios ne parvienne pas à détecter le rétablissement d'un de vos hôtes, je vous suggère de ne pas activer cette option.

  • 0 = Contrôle aggressif d'hôte désactivé (défaut)

  • 1 = Contrôle aggressif d'hôte activé

Option de traduction des contrôles d'hôte passif

Format

translate_passive_host_checks=<0/1>

Exemple

translate_passive_host_checks=1

Cette option détermine si Nagios peut traduire ou non l'état DOWN/UNREACHABLE d'un contrôle passif en l'état correct en considérant un point de vue d'une instance Nagios locale. Cette option peut s'avérer vraiment utile lors d'installation de type distribuée. Plus d'informations sur la traduction d'état passif peuvent être trouvés ici.

  • 0 = Désactiver la traduction (défaut)

  • 1 = Activer la traduction

Option de status (FIXME ?) des contrôle passifs d'hôte

Format

passive_host_checks_are_soft=<0/1>

Exemple

passive_host_checks_are_soft=1

Cette option détermine si en effet Nagios traitera les contrôles d'hôte passif en états HARD ou SOFT. Par défaut, les résultats de contrôles passif sont considérés en état HARD. Vous pouvez changer ceci en activant cette option.

  • 0 = Les controles d'hôte passifs sont HARD

  • 1 = Les contrôles d'hôte passifs sont SOFT

Option de contrôles prédictifs de dépendances d'hôte

Format

enable_predictive_host_dependency_checks=<0/1>

Exemple

enable_predictive_host_dependency_checks=1

Cette option détermine si Nagios exécutera ou non des contrôles prédictifs sur les hôtes dépendant (comme définit dans dépendance d'hôtes) d'un hôte particulier quand celui ci change d'état. Les contrôles prédictifs permettent de s'assurer que la logique de dépendance est aussi précise que possible. Plus d'informations sur le fonctionnement des contrôles prédictifs peuvent être trouvées ici

  • 0 = Désactiver les contrôles prédictifs

  • 1 = Activer les contrôles prédictifs (par défaut)

Option de contrôle prédictif de dépendance de service

Format

enable_predictive_service_dependency_checks=<0/1>

Exemple

enable_predictive_service_dependency_checks=1

Cette option détermine si Nagios exécutera ou non des contrôles prédictifs sur les services dépendants (comme défini dans dépendance de service) d'un service particulier quand celui ci change d'état. Les contrôles prédictifs permettent de s'assurer que la logique de dépendance est aussi précise que possible. Plus d'informations sur le fonctionnement des contrôles prédictifs peuvent être trouvées ici FIXME

  • 0 = Désactiver les contrôles prédictifs

  • 1 = Activer les contrôles prédictifs (par défaut)

FIXME Cached Host Check Horizon

Format

cached_host_check_horizon=<seconds>

Exemple

cached_host_check_horizon=15

Cette option détermine le temps maximum (en secondes) pour que l'état d'un précédent contrôle d'hôte soit considéré comme courant. Le cache d'état d'hôtes (du point de vue des contrôles d'hôtes qui ont été effectués plus récemment que le temps spécifié par cette valeur) peut améliorer considérablement les performances pour les contrôles d'hôtes. Une valeur trop élevée pour cette option peut se traduire par des états d'hôtes (temporairement) éronnés, alors qu'une valeur trop basse se traduira par un écroulement des performances pour les contrôles d'hôtes. Utiliser la valeur 0 pour désactiver le cache de contrôle des hôtes. Plus d'informations concernant le cache des contrôles peuvent être trouvées ici.

FIXME Cached Service Check Horizon

Format

cached_service_check_horizon=<seconds>

Exemple

cached_service_check_horizon=15

Cette option permet de définir le temps maximum (en secondes) pour que l'état d'un précédent contrôle de service soit considéré comme courant. Le cache d'état de service (Pour les contrôles de services qui sont effectués en avance par rapport à l'intervalle spécifié par cette valeur) peut améliorer la performance des contrôles quand un nombre important de dépendances de services est utilisé. Une valeur trop haute pour cette option se soldera par une manque de précision dans la logique de dépendance des services. Positionnez cette valeur à 0 si vous voulez désactiver le cache de contrôle de service. Plus d'informations sur le cache de contrôles peuvent être trouvées ici.

Option d'optimisations pour les gros périmètres

Format

use_large_installation_tweaks=<0/1>

Exemple

use_large_installation_tweaks=0

Cette option détermine si Nagios utilisera différents raccourcis pour améliorer les performances. Ces raccourcis font perdre quelques fonctionnalités, mais ils apportent de gros gains sur des périmètres importants. Plus d'informations sur ces optimisations quand vous activez cette option peuvent être trouvées ici.

  • 0 = Ne pas utiliser les optimisations (par défaut)

  • 1 = Utiliser les optimisations

Option de gestion de la mémoire des processus enfants

Format

free_child_process_memory=<0/1>

Exemple

free_child_process_memory=0

Cette option permet de déterminer si Nagios libérera la mémoire utilisée par les processus enfant quand il seront arrivés en fin de traitement. Par défaut, Nagios libère la mémoire. Ce

  • 0 = Ne pas libérer la mémoire

  • 1 = Libérer la mémoire

Forker les processus enfant en double

Format

child_processes_fork_twice=<0/1>

Exemple

child_processes_fork_twice=0

Cette option détermine si nagios doit forker ou non en double les processus enfants quand il exécute des contrôle d'hôte et de service. Par défaut, Nagios fork en double. Cependant, si l'option use_large_installation_tweaks est activée, il ne fera qu'un fork. En déclarant cette option dans votre fichier de configuration, vous avez la possibilité de changer ce comportement.

  • 0 = Fork() une fois

  • 1 = Fork() en double

Activation des macros d'environnement

Format

enable_environment_macros=<0/1>

Exemple

enable_environment_macros=0

Cette option détermine si oui ou non le démon Nagios peut considérer toutes les macros standard comme des variables d'environnements pour vos contrôles, notifications, déclencheur d'événement, etc… Dans de grands périmètres de production, ceci peut être problématique car une utilisation mémoire et CPU supplémentaire est utile pour convertir ces macros en variables d'environnements.

  • 0 = Ne pas rendre les macros disponibles comme variables d'environnement

  • 1 = Rendre les macros disponibles comme variables d'environnement (défaut)

Option de détection de l'oscillation d'un service ou d'un hôte[flap]

Format

enable_flap_detection=<0/1>

Exemple

enable_flap_detection=0

Cette option détermine si Nagios essaiera de détecter les hôtes et les services qui oscillent. L'oscillation apparaît lorsqu'un hôte ou un service change d'état trop fréquemment, causant l'émission d'une montagne de notifications. Quand Nagios détecte qu'un hôte ou un service oscille, il supprime temporairement les notifications pour cet hôte/service jusqu'à ce qu'il arrête d'osciller.

La détection de l'oscillation est encore au stade expérimental, utilisez donc cette fonctionnalité avec prudence ! Pour plus d'informations sur la détection et la gestion des oscillations, lisez ceci.

Note : si vous avez activé la mémorisation d'état ,Nagios ignorera cette option à son (re)démarrage et utilisera la dernière valeur connue (telle qu'elle est enregistrée dans le fichier de mémorisation des états ), à moins que vous ne désactiviez l'option use_retained_program_state. Si vous voulez changer cette option alors que la mémorisation d'état est activée (ainsi que l'option use_retained_program_state), vous devrez passer par la commande externe appropriée ou l'interface web.

  • 0 = Ne pas activer la détection d'oscillation (défaut)

  • 1 = Activer la détection d'oscillation

Seuil inférieur d'oscillation d'un service

Format

low_service_flap_threshold=<percent>

Exemple

low_service_flap_threshold=25.0

Cette option permet de donner le seuil inférieur pour la détection de l'oscillation d'un service. Pour plus d'informations sur la détection et la gestion des oscillations (et comment cette variable les affecte), lisez ceci.

Seuil supérieur d'oscillation d'un service

Format

high_service_flap_threshold=<percent>

Exemple

high_service_flap_threshold=50.0

Cette option permet de donner le seuil supérieur pour la détection de l'oscillation d'un service. Pour plus d'informations sur la détection et la gestion des oscillations (et comment cette variable les affecte), lisez ceci.

Seuil inférieur d'oscillation d'un hôte

Format

low_host_flap_threshold=<percent>

Exemple

low_host_flap_threshold=25.0

Cette option permet de donner le seuil inférieur pour la détection de l'oscillation d'un hôte. Pour plus d'informations sur la détection et la gestion des oscillations (et comment cette variable les affecte), lisez ceci.

Seuil supérieur d'oscillation d'un hôte

Format

high_host_flap_threshold=<percent>

Exemple

high_host_flap_threshold=50.0

Cette option permet de donner le seuil supérieur pour la détection de l'oscillation d'un hôte. Pour plus d'informations sur la détection et la gestion des oscillations (et comment cette variable les affecte), lisez ceci.

Option de dépendance soft des services

Format

soft_state_dependencies=<0/1>

Exemple

soft_state_dependencies=0

Cette option détermine si Nagios utilisera les informations d'état soft des services lors du contrôle des dépendances de service. En temps normal, Nagios n'utilise que le dernier état hard du service lors du contrôle des dépendances. Si vous voulez utiliser le tout dernier état (que ce soit un état de type hard ou soft), activez cette option.

  • 0 = Ne pas utiliser les états soft de dépendances (défaut)

  • 1 = Utiliser les états soft de dépendances

Dépassement de délai du contrôle de service

Format

service_check_timeout=<seconds>

Exemple

service_check_timeout=60

C'est le nombre maximal de secondes pendant lequel Nagios laissera tourner un contrôle de service. Si le contrôle dépasse cette limite, il est tué et un état CRITICAL est retourné. Une erreur de dépassement de délai est également journalisée.

Il existe la confusion la plus totale sur ce que cette option fait vraiment. Elle est là comme dernier rempart, pour tuer les plugins qui se comportent mal, ou ne se sont pas terminés correctement. Il faut la positionner à une valeur haute (quelque chose comme 60s), de manière à ce que tout contrôle ait le temps de se terminer avant cette limite. Si le contrôle du service prend plus de temps pour s'exécuter, Nagios le tuera, pensant que c'est un processus ayant des problèmes d'exécution.

Dépassement de délai du contrôle d'hôte

Format

host_check_timeout=<seconds>

Exemple

host_check_timeout=60

C'est le nombre maximal de secondes pendant lesquelles Nagios laissera tourner un contrôle d'hôte. Si le contrôle dépasse cette limite, il est tué et un état CRITICAL est retourné, et l'hôte sera supposé être dans l'état DOWN. Une erreur de dépassement de délai est également journalisée.

Il existe également la confusion la plus totale sur ce que cette option fait vraiment. Elle est là comme dernier rempart, pour tuer les plugin qui se comportent mal ou ne se sont pas terminés correctement. Il faut la positionner à une valeur haute (quelque chose comme 60s), de manière à ce que tout contrôle ait le temps de se terminer avant cette limite. Si le contrôle de l'hôte prend plus de temps pour s'exécuter, Nagios le tuera, pensant que c'est un processus ayant des problèmes d'exécution.

Dépassement de délai de contrôle du gestionnaire d'événement

Format

event_handler_timeout=<seconds>

Exemple

event_handler_timeout=60

C'est le nombre maximal de secondes pendant lequel Nagios laissera tourner un gestionnaire d'événement. Si un gestionnaire d'événement dépasse cette limite il sera tué et une alerte sera journalisée.

Il existe là aussi, comme précédemment, la confusion la plus totale sur ce que cette option fait vraiment. Elle est là comme dernier rempart, pour tuer les plugins qui se comportent mal ou ne se sont pas terminés correctement. Il faut le positionner à une valeur haute (quelque chose comme 60s), de manière à ce que tout contrôle ait le temps de se terminer avant cette limite. Si le contrôle du gestionnaire d'événement prend plus de temps pour s'exécuter, Nagios le tuera, pensant que c'est un processus ayant des problèmes d'exécution.

Dépassement de délai de notification

Format

notification_timeout=<seconds>

Exemple

notification_timeout=60

C'est le nombre maximal de secondes pendant lequel Nagios laissera tourner une commande de notification. Si une commande de notification dépasse cette limite elle sera tuée et une alerte sera journalisée.

Il existe la confusion la plus totale (NdT: toute ressemblance avec des phrases précédentes serait purement intentionnelle :-) ) sur ce que cette option fait vraiment. Elle est là comme dernier rempart, pour tuer les plugins qui se comporte mal ou ne se sont pas terminés correctement. Il faut le positionner à une valeur haute (quelque chose comme 60s), de manière à ce que tout contrôle ait le temps de se terminer avant cette limite. Si la notification prend plus de temps pour s'exécuter, Nagios la tuera, pensant que c'est un processus ayant des problèmes d'exécution.

Dépassement de délai de la commande de remontée de contrôle de service

Format

ocsp_timeout=<seconds>

Exemple

ocsp_timeout=5

C'est le nombre maximal de secondes pendant lequel Nagios laissera tourner une commande de remontée de contrôle de service .Si une commande dépasse cette limite, elle sera tuée et une alerte sera journalisée.

Dépassement de délai de la commande de remontée de contrôle d'hôte

Format

ochp_timeout=<seconds>

Exemple

ochp_timeout=5

C'est le nombre maximal de secondes pendant lequel Nagios laissera tourner une ochp_command. Si une commande dépasse cette limite, elle sera tuée et une alerte sera journalisée.

Dépassement de délai de la commande de traitement des données liées aux performances

Format

perfdata_timeout=<seconds>

Exemple

perfdata_timeout=5

C'est le nombre maximal de secondes pendant lequel Nagios laissera tourner une commande de traitement des données liées aux performance d'un hôte ou de traitement des données liées aux performances d'un service .Si une commande dépasse cette limite, elle sera tuée et une alerte sera journalisée.

Option de remontée de contrôle de service

Format

obsess_over_services=<0/1>

Exemple

obsess_over_services=1

Cette variable détermine si Nagios remontera les résultats de contrôles de service et lancera la commande de remontée de contrôle de service que vous avez définie. Je sais que c'est un drôle de nom [en anglais obsessive compulsive service processor], mais c'est tout ce qui m'est venu à l'esprit. Cette option est utile dans le cadre de la supervision répartie .Si vous ne faites pas de supervision répartie, n'activez pas cette option.

  • 0 = Ne pas obsess sur les services (défaut)

  • 1 = Obsess sur les services

Commande de remontée de contrôle de service

Format

ocsp_command=<command>

Exemple

ocsp_command=obsessive_service_handler

Cette option définit la commande à lancer après chaque contrôle de service, ce qui peut être utile dans une supervision répartie. Elle est exécutée après les éventuelles commandes de gestion d'événement ou de notification. L'argument commande est le nom court d'une définition de commande que vous avez définie dans le fichier de configuration des hôtes. Cette option sert dans le cadre de la supervision répartie. Le temps d'exécution maximal de cette commande est déterminé par la variable la section intitulée «  ocsp_timeout  » .Vous trouverez plus d'informations sur la supervision répartie ici. Cette commande est seulement exécutée que si la variable la section intitulée «  obsess_over_services  » est entièrement activée et que si le paramètre obsess_over_service dans la définition du service l'est aussi.

Option de remontée de contrôle d'hôte

Format

obsess_over_hosts=<0/1>

Exemple

obsess_over_hosts=1

Cette variable détermine si Nagios remontera les résultats de contrôles d'hôtes et lancera la commande de remontée de contrôle d'hôte que vous avez définie. Je sais que c'est un drôle de nom [en anglais obsessive compulsive host processor], mais c'est tout ce qui m'est venu à l'esprit. Cette option est utile dans le cadre de la supervision répartie. Si vous ne faites pas de supervision répartie, n'activez pas cette option.

  • 0 = Ne pas obsess sur les hôtes (défaut)

  • 1 = Obsess sur les hôtes

Commande de remontée de contrôle d'hôte

Format

ochp_command=<command>

Exemple

ochp_command=obsessive_host_handler

Cette option définit la commande à lancer après chaque contrôle d'hôte, ce qui peut être utile dans une supervision répartie. Elle est exécutée après les éventuelles commandes de gestion d'événement ou de notification. L'argument commande est le nom court d'une définition de commande que vous avez définie dans le fichier de configuration des hôtes. Cette option sert dans le cadre de la supervision répartie. Le temps d'exécution maximal de cette commande est déterminé par la variable la section intitulée «  ochp_timeout  » .Vous trouverez plus d'informations sur la supervision répartie ici. Cette commande n'est exécutée que si l'option de la section intitulée «  obsess_over_hosts  » est activée et que si le paramètre obsess_over_host dans la définition de l'hôte l'est aussi.

Option de traitement des données liées aux performances

Format

process_performance_data=<0/1>

Exemple

process_performance_data=1

Cette valeur détermine si Nagios traitera les données liées aux performances des contrôles d'hôtes et de services.

  • 0 = Ne pas traiter les données de performance (défaut)

  • 1 = Traiter les données de performance

Commande de performance liée aux hôtes

Format

host_perfdata_command=<command>

Exemple

host_perfdata_command=process-host-perfdata

Cette option vous permet de spécifier une commande qui sera lancée après chaque vérification d'hôte pour traiter les données de performance qui peuvent être retournées après la vérification. L'argument commande est le nom court d'une définition de commande que vous avez définie dans le fichier de configuration des objets. Cette commande est exécutée si l'option de la section intitulée «  process_performance_data  » est activée et si le paramètre process_perf_data ([NdT] : traitement des données de performance) dans la définition de l'hôte l'est aussi.

Commande de performance liée aux services

Format

service_perfdata_command=<command>

Exemple

service_perfdata_command=process-service-perfdata

Cette option vous permet de spécifier une commande qui sera lancée après chaque vérification de service pour traiter les données de performance qui peuvent être retournées après la vérification. L'argument commande est le nom court d'une définition de commande que vous avez définie dans le fichier de configuration des objets. Cette commande est exécutée si l'option de traitement des données de performance est activée et si le paramètre process_perf_data ([NdT] : traitement des données de performance) est activé dans la définition du service. Cette commande est seulement exécuté que si la variable la section intitulée «  obsess_over_services  » est entièrement activée et que si le paramètre process_perf_data dans la définition du service l'est aussi.

Fichier de performance des hôtes

Format

host_perfdata_file=<file_name>

Exemple

host_perfdata_file=/usr/local/nagios/var/host-perfdata.dat

Cette option vous permet de spécifier un fichier dans lequel les données de performance vont être écrites après chaque vérification d'hôte. Les données seront écrites dans ce fichier comme spécifié dans le la section intitulée «  host_perfdata_file_template  » .Les données ne seront écrites que si l'option de la section intitulée «  process_performance_data  » est activée et si le paramètre process_perf_data ([NdT] : traitement des données de performance) est activé dans la définition de l'hôte. process_perf_data que si le paramètre dans la définition de l'hôte l'est aussi.

Fichier de performance des services

Format

service_perfdata_file=<file_name>

Exemple

service_perfdata_file=/usr/local/nagios/var/service-perfdata.dat

Cette option vous permet de spécifier un fichier dans lequel les données de performance vont être écrites après chaque vérification de service. Les données seront écrites dans ce fichier comme spécifié dans le la section intitulée «  service_perfdata_file_template  » .Les données ne seront écrites que si l'option de la section intitulée «  process_performance_data  » est activée et si le paramètre process_perf_data ([NdT] : traitement des données de performance) est activé dans la définition du service. Cette commande est seulement exécuté que si la variable la section intitulée «  obsess_over_services  » est entièrement activée et que si le paramètre process_perf_data dans la définition du service l'est aussi.

Patron du fichier de performance des hôtes

Format

host_perfdata_file_template=<template>

Exemple

host_perfdata_file_template=[HOSTPERFDATA]\t$TIMET$\t$HOSTNAME$\t$HOSTEXECUTIONTIME$\t$HOSTOUTPUT$\t$HOSTPERFDATA$

Cette option détermine ce qui va être écrit (et comment) dans le fichier de performance des hôtes .Le patron peut contenir des macros, des caractères spéciaux (\t pour une tabulation, \r un retour charriot, \n pour un retour à la ligne). Un retour à la ligne est ajouté après chaque écriture des données de performance.

Patron du fichier de performance des services

Format

service_perfdata_file_template=<template>

Exemple

service_perfdata_file_template=[SERVICEPERFDATA]\t$TIMET$\t$HOSTNAME$\t$SERVICEDESC$\t$SERVICEEXECUTIONTIME$\t$SERVICELATENCY$\t$SERVICEOUTPUT$\t$SERVICEPERFDATA$

Cette option détermine ce qui va être écrit (et comment) dans le fichier de performance des services .Le patron peut contenir des macros, des caractères spéciaux (\t pour une tabulation, \r un retour charriot, \n pour un retour à la ligne). Un retour à la ligne est ajouté après chaque écriture des données de performance.

Mode d'ouverture du fichier de performance des hôtes

Format

host_perfdata_file_mode=<mode>

Exemple

host_perfdata_file_mode=a

Cette option détermine si le fichier de performance des hôtes est ouvert en mode écrasement ou ajout. A moins que le fichier ne soit un tube nommé [named pipe], vous voudrez certainement utiliser l'option par défaut ajout.

  • a = Ouvrir le fichier en mode ajout [append] (par défaut)

  • w = Ouvrir le fichier en mode écrasement [write]

  • p = Ouvrir le fichier en mode lecture / écriture en mode non-bloquant.

Mode d'ouverture du fichier de performance des services

Format

service_perfdata_file_mode=<mode>

Exemple

service_perfdata_file_mode=a

Cette option détermine si le fichier de performance des services est ouvert en mode écrasement ou ajout. A moins que le fichier ne soit un tube nommé [named pipe], vous voudrez certainement utiliser l'option par défaut ajout.

  • a = Ouvrir le fichier en mode ajout [append] (par défaut)

  • w = Ouvrir le fichier en mode écrasement [write]

  • p = Ouvrir le fichier en mode lecture / écriture en mode non-bloquant.

Intervalle de traitement du fichier de performance des hôtes

Format

host_perfdata_file_processing_interval=<seconds>

Exemple

host_perfdata_file_processing_interval=0

Cette option vous permet de spécifier l'intervalle (en secondes) entre deux traitements du fichier de performance des hôtes par la commande de performance liée aux hôtes .Une valeur de 0 signifie que le traitement n'aura pas lieu de manière régulière.

Intervalle de traitement du fichier de performance des services

Format

service_perfdata_file_processing_interval=<seconds>

Exemple

service_perfdata_file_processing_interval=0

Cette option vous permet de spécifier l'intervalle (en secondes) entre deux traitements du fichier de performance des services par la commande de performance liée aux services .Une valeur de 0 signifie que le traitement n'aura pas lieu de manière régulière.

Commande de traitement du fichier de performance des hôtes

Format

host_perfdata_file_processing_command=<command>

Exemple

host_perfdata_file_processing_command=process-host-perfdata-file

Cette option vous permet de définir la commande qui sera exécutée pour le traîtement du fichier de performance des hôtes .L'argument commande est le nom court d'une définition de commande que vous avez définie dans le fichier de configuration des objets. L'intervalle entre deux traitements est indiqué par l'intervalle de traitement du fichier de performance des hôtes .

Commande de traitement du fichier de performance des services

Format

service_perfdata_file_processing_command=<command>

Exemple

service_perfdata_file_processing_command=process-service-perfdata-file

Cette option vous permet de définir la commande qui sera exécutée pour le traîtement du fichier de performance des services .L'argument commande est le nom court d'une définition de commande que vous avez définie dans le fichier de configuration des objets. L'intervalle entre deux traitements est indiqué par la section intitulée «  service_perfdata_file_processing_interval  » .

Option de vérification des contrôles de service orphelins

Format

check_for_orphaned_services=<0/1>

Exemple

check_for_orphaned_services=1

Cette option vous permet d'activer ou désactiver la vérification des contrôles de service orphelins. Les contrôles de service orphelins sont des contrôles ayant été exécutés et supprimés de la file des événements, mais dont les résultats n'ont pas été remontés depuis longtemps.

Comme aucun résultat n'a été remontée pour ce service, il n'est pas réordonnancé dans la file d'événements. Cela peut causer l'arrêt des contrôles du service. Normalement, c'est un phénomène très rare - il peut se produire si un utilisateur ou un processus extérieur a tué le processus utilisé pour exécuter le contrôle de service.

Si cette option est activée et que Nagios s'aperçoit qu'un résultat de contrôle de service particulier ne revient pas, il journalisera un message d'erreur, et réordonnancera le contrôle de service. Si vous constatez que certains contrôles de service semblent n'être jamais réordonnancés, activez cette option et cherchez dans les journaux, des messages concernant des services orphelins.

  • 0 = Ne pas contrôler les contrôles de services orphelins

  • 1 = Ccontrôler les contrôles de services orphelins (défaut)

Option de vérification des contrôles d'hôtes orphelins

Format

check_for_orphaned_hosts=<0/1>

Exemple

check_for_orphaned_hosts=1

Cette option vous permet d'activer ou désactiver la vérification des contrôles d'hôte orphelins. Les contrôles d'hôte orphelins sont des contrôles ayant été exécutés et supprimés de la file des événements, mais dont les résultats n'ont pas été remontés depuis longtemps.

Comme aucun résultat n'a été remontée pour cet hôte, il n'est pas réordonnancé dans la file d'événements. Cela peut causer l'arrêt des contrôles de l'hôte. Normalement, c'est un phénomène très rare - il peut se produire si un utilisateur ou un processus extérieur a tué le processus utilisé pour exécuter le contrôle de l'hôte.

Si cette option est activée et que Nagios s'aperçoit qu'un résultat de contrôle de l'hôte particulier ne revient pas, il journalisera un message d'erreur, et réordonnancera le contrôle de l'hôte. Si vous constatez que certains contrôles de l'hôte semblent n'être jamais réordonnancés, activez cette option et cherchez dans les journaux, des messages concernant des hôtes orphelins.

  • 0 = Ne pas contrôler les contrôles d'hôtes orphelins

  • 1 = Contrôler les contrôles d'hôtes orphelins (défaut)

Option de contrôle de la validité des données d'un service

Format

check_service_freshness=<0/1>

Exemple

check_service_freshness=0

Cette option détermine si Nagios va contrôler ou non périodiquement la validité des données d'un service. L'activation de cette option aide à contrôler que les contrôles de service passifs sont reçus en temps et en heure. On peut trouver plus d'informations sur cette option ici.

  • 0 = Ne pas contrôler la validité des services

  • 1 = Contrôler la validité des services (défaut)

Intervalle de contrôle de la validité des données d'un service

Format

service_freshness_check_interval=<seconds>

Exemple

service_freshness_check_interval=60

Cette option détermine l'intervalle de temps (en secondes) entre deux contrôles de validité des données d'un service. Si vous avez désactivé ce service, avec l'option de contrôle de validité des données d'un service ,cette option n'a pas d'effet. Vous pouvez trouver plus d'informations sur ce service ici.

Option du contrôle de la validité des données d'un hôte

Format

check_host_freshness=<0/1>

Exemple

check_host_freshness=0

Cette option détermine si Nagios va contrôler ou non périodiquement la validité des données d'un hôte. L'activation de cette option aide à contrôler que les contrôles passifs des hôtes sont reçus en temps et en heure. On peut trouver plus d'informations sur cette option ici.

  • 0 = Ne pas contrôler la validité des hôtes

  • 1 = Contrôler la validité des hôtes (défaut)

Intervalle de contrôle de la validité des données d'un hôte

Format

host_freshness_check_interval=<seconds>

Exemple

host_freshness_check_interval=60

Cette option détermine l'intervalle de temps (en secondes) entre deux contrôles de validité des données d'un hôte. Si vous avez désactivé ce service, avec l'option de contrôle de validité des données d'un hôte ,cette option n'a pas d'effet. Vous pouvez trouver plus d'informations sur ce service ici.

Option du seuil de fraîcheur supplémentaire de la latence

Format

additional_freshness_latency=<#>

Exemple

additional_freshness_latency=15

Cette option détermine le nombres de secondes que Nagios ajoutera pour qu'un hôte ou un service se rafraichisse (Ce n'est pas déterminé nativement par l'utilisateur). Vous trouverez plus d'informations ici.

Activation de l'interpréteur Perl incorporé

Format

enable_embedded_perl=<0/1>

Exemple

enable_embedded_perl=1

Cette option détermine ou non si l'interpréteur Perl est activé dans le cœur du programme. Nagios doit être compilé en précisant cette option pour que ce paramétrage soit opérationnel. Vous trouverez plus d'informations à ce sujet ici.

Interpréteur Perl incorporé FIXME implicite

Format

use_embedded_perl_implicitly=<0/1>

Exemple

use_embedded_perl_implicitly=1

Cette option détermine si oui ou non l'interpréteur Perl sera utilisé lors d'utilisation de plugins/scripts perl. Nagios doit être compilé en précisant cette option pour que ce paramétrage soit opérationnel. Vous trouverez plus d'informations à ce sujet ici.

Format de la date

Format

date_format=<option>

Exemple

date_format=us

Cette option spécifie le format de date que Nagios utilisera dans l'interface web. Les options possibles sont :

Option

Format de sortie

Exemple

us

MM/DD/YYYY HH:MM:SS

06/30/2002 03:15:00

euro

DD/MM/YYYY HH:MM:SS

30/06/2002 03:15:00

iso8601

YYYY-MM-DD HH:MM:SS

2002-06-30 03:15:00

strict-iso8601

YYYY-MM-DDTHH:MM:SS

2002-06-30T03:15:00

Option de plage horaire

Format

use_timezone=<tz>

Exemple

use_timezone=US/Mountain

Cette option vous autorise à définir la plage horaire par défaut à l'instance Nagios. Ceci est très utile si vous possédez plusieurs instances Nagios tournant sur le même serveur, mais avec différentes localités associées. Si vous ne spécifiez rien, Nagios prend celle du système par défaut.

Si vous utilisez cette option de plage horaire personnalisée, vous allez devoir modifier des paramètres dans les fichiers de configurations d'Apache concernant les CGIs comme dans l'exemple suivant:

<Directory "/usr/local/nagios/sbin/">
    SetEnv TZ "US/Mountain"
    ...
</Directory>
                

Caractères illégaux dans les noms d'objets

Format

illegal_object_name_chars=<chars...>

Exemple

illegal_object_name_chars=`~!$%^&*"|'<>?,()=

Cette option vous permet de spécifier quels sont les caractères illégaux dans les noms d'objets, tels qu'hôtes, services et autres. Nagios vous autorisera la plupart des caractères dans les définitions d'objets, mais je recommande de ne pas utiliser les caractères ci-dessus. Le faire vous expose à des problèmes dans l'interface web, les notifications de commandes, etc.

Caractères illégaux dans la sortie des macros

Format

illegal_macro_output_chars=<chars...>

Exemple

illegal_macro_output_chars=`~$^&"|'<>

Cette option vous permet de spécifier les caractères illégaux qui seront filtrés dans les macros, avant qu'elles ne soient utilisées dans les notifications, les gestionnaires d'événements et autres commandes. Ceci n'affecte pas les macros utilisées dans les contrôles des services ou des hôtes. Vous pouvez choisir de ne pas filtrer les caractères donnés en exemple ci-dessus, mais je vous le le déconseille. Quelques uns d'entre eux sont interprétés par le shell ( par exemple, le ` ) et peuvent poser des problèmes de sécurité. Les macros suivantes sont débarrassées des caractères spécifiés dans l'option :

  • $HOSTOUTPUT$

  • $HOSTPERFDATA$

  • $HOSTACKAUTHOR$

  • $HOSTACKCOMMENT$

  • $SERVICEOUTPUT$

  • $SERVICEPERFDATA$

  • $SERVICEACKAUTHOR$

  • $SERVICEACKCOMMENT$

Option de concordance par expressions rationnelles

Format

use_regexp_matching=<0/1>

Exemple

use_regexp_matching=0

Cette option détermine si les paramètres dans vos définitions d'objet seront traités comme des expressions rationnelles. Vous pouvez trouver plus d'informations sur ce service ici.

  • 0 = Ne pas utiliser les concordances par expressions rationnelles (par défaut)

  • 1 = Utiliser les concordances par expressions rationnelles

Option de concordance systématique par expressions rationnelles

Format

use_true_regexp_matching=<0/1>

Exemple

use_true_regexp_matching=0

Si vous avez activé la concordance par expression rationnelle, cette option va déterminer quand les paramètres vont être traités comme des expressions rationnelles : * Si cette option est désactivée (par défaut), les paramètres seront traités comme des expression rationnelles uniquement si elles contiennent un *, ?, +, ou un \ … * Si cette option est activée, toutes les paramètres seront traités comme des expressions rationnelles. Faîtes très attention lorsque vous activez cette option! Pour plus d'informations, lisez ceci.

  • 0 = Ne pas utiliser les vraies concordances par expressions rationnelles

  • 1 = Utiliser les vraies concordances par expressions rationnelles

Adresse email de l'administrateur

Format

admin_email=<email_address>

Exemple

admin_email=root@localhost.localdomain

C'est l'adresse mail de l'administrateur local de la machine (i.e. celle sur laquelle Nagios tourne). Cette valeur peut être utilisée dans les commandes de notification grâce à la macro $ADMINEMAIL$.

Pager de l'administrateur

Format

admin_pager=<pager_number_or_pager_email_gateway>

Exemple

admin_pager=pageroot@localhost.localdomain

C'est le numéro du pager (ou la passerelle pager-email) de l'administrateur de la machine locale (i.e. celle sur laquelle Nagios tourne). Le numéro ou l'adresse de pager peut être utilisé dans les commandes de notification grâce à la macro $ADMINPAGER$ .

Options du courtier d'événement

Format

event_broker_options=<#>

Exemple

event_broker_options=-1

Cette option contrôle que les données (si plusieurs) seront envoyées au courtier d'événement et, ensuite, chargées dans le module du courtier d'événement. Il s'agit d'une option avancée. Dans le doute, ne transportez rien (si vous n'utilisez aucun modules) ou choisissez de tout transporter (si vous utilisez des modules). Les valeurs possibles sont les suivantes:

  • 0 = Rien transporter

  • -1 = Tout transporter

  • # = Regardez la définition de BROKER_* dans le code source (include/broker.h) pour d'autres valeurs qui pourront être définies pour plus tard

Les modules événementiels

Format

broker_module=<modulepath> [moduleargs]

Exemple

broker_module=/usr/local/nagios/bin/ndomod.o cfg_file=/usr/local/nagios/etc/ndomod.cfg

Ce paramètre est particulièrement utilisé pour que le module événementiel soit chargé au démarrage de Nagios. On peut utiliser plusieurs de ces mêmes paramètres si l'on veut en charger plusieurs. Les arguments passés au module seront séparés par un espace.

Ne PAS écraser les modules pendant qu'ils sont utilisés par Nagios ou Nagios plantera en affichant des SEGFAULT. C'est un bogue/limite de la fonction dlopen(), du noyau, et/ou du filesystem. Et peut-être de Nagios…

La manière la plus sûre de mettre à jour un module est l'une des méthodes suivantes:

  • Stoppez Nagios, remplacez le fichier du module, redémarrez Nagios

  • Durant que Nagios tourne… Effacez le fichier original du module, mettre à la place le nouveau fichier, redémarrez Nagios

Fichier de débogage

Format

debug_file=<file_name>

Exemple

debug_file=/usr/local/nagios/var/nagios.debug

Cette option détermine si oui ou non Nagios peut écrire des informations de débogage. La précision des informations que Nagios écrit dépend des options debug_level et debug_verbosity. Vous pouvez automatiquement gérer la rotation du fichier de débogage en fonction de sa taille en utilisant l'option la section intitulée «  max_debug_file_size  »

Niveau de débogage

Format

debug_level=<#>

Exemple

debug_level=24

Cette option détermine quel type d'information Nagios doit écrire dans la section intitulée «  debug_file  ».Les valeurs possibles sont les suivantes:

  • -1 = Tout logguer

  • 0 = Ne rien logguer (par défaut)

  • 1 = Les informations des fonctions d'I/O

  • 2 = Les informations liées à la configuration

  • 4 = Les informations liées aux exécutions

  • 8 = Les informations liées aux planificationx des événements

  • 16 = Les informations liées aux hôtes et aux services

  • 32 = Les informations sur les notifications

  • 64 = Les informations liées au courtier d'événement

Verbosité du mode de débogage

Format

debug_verbosity=<#>

Exemple

debug_verbosity=1

Cette option détermine la quantité d'information de débogage que Nagios doit écrire dans le fichier de débogage .

  • 0 = Information de base

  • 1 = Information plus détaillée (par défaut)

  • 2 = Information très détaillée

Taille maximale du fichier de débogage

Format

max_debug_file_size=<#>

Exemple

max_debug_file_size=1000000

Cette option détermine la taille maximum (en octets) du fichier de débogage .Si le fichier dépasse la taille que vous avez indiqué, il sera renommé avec une extension en .old. Si le fichier .old existe déjà, il sera automatiquement effacé. Cette option vous permet de garder un contrôle sur l'espace disque que Nagios prend quand il se trouve en mode de débogage.